Cobra El Cynico

Cobra El Cynico : flâneur des ruines intérieures

Il ne cherche pas à convaincre. Il ne veut pas guérir, ni dénoncer, ni guider.

Cobra El Cynico est un arpenteur. Un éclaireur fatigué. Un ironiste des profondeurs.

Son monde n’est pas fait de vérités.
Il est tissé de fissures, de silences, de fragments d’émotions orphelines.
Des lieux mentaux, des ruines d’identités, des archives du presque.

On y entre sans y penser, comme on tombe dans un rêve.
Et une fois à l’intérieur, quelque chose vous regarde.
Pas Cobra.
Vous-même. Mais dans une version que vous aviez soigneusement oubliée.

Un monde intérieur fait de fragments

Son univers est un labyrinthe sans minotaure.
Seulement des vestiges de décisions non prises, des valises d’êtres possibles, des détails oubliés qui saignent encore doucement.

On y croise :

Chaque lieu est un miroir brisé. Chaque texte est une carte mentale qu’on n’a pas su dessiner. Mais qu’on reconnaît, soudain.

Un observateur des possibles abandonnés

Cobra n’explique rien. Il expose. Il murmure. Il ironise.
Et il vous laisse seul face au tiroir que vous auriez préféré ne jamais rouvrir.

Mais ce n’est pas du désespoir. Pas tout à fait.
C’est une lucidité délicate. Une tendresse envers ce qui en vous a été écarté, censuré, pas fini.

Un univers en fragments

Il y a des fragments. Des cahiers. Des correspondances.
Pas de chronologie. Seulement des échos.

Vous y lirez peut-être :

Cobra El Cynico ne construit pas de monde.
Il révèle les fondations instables du vôtre.
Il vous tend un miroir, mais à travers une brume légère.

Et dans ce flou, une vérité prend forme. Pas LA vérité. La vôtre.

Entrez. Sentez. Laissez-vous dépouiller.

Bienvenue dans le Journal de Cobra.
Ici, les histoires n’ont pas toujours de fin. Les pensées s’écrivent à l’envers. Les émotions ne cherchent pas la résolution, mais la résonance.

Alors, entrez. Mais laissez vos certitudes à la porte. Elles n’y survivraient pas.

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